Avant cette (re)découverte capitale, il faut en effet réussir à entamer les couches de sédiments des années Kyuss (son rugueux, compos manquant de relief) et surtout se faire à l’idée que, sur un bon quart des morceaux, la voix de Casanova du Delta de Josh Homme et les riffs monolithiques caractéristiques du stoner ne sont que des affleurements. Des formalités au regard de la récompense."